Jo Gauthier et Jonathan Bernard ont emporté dimanche 24 juin 2012 la 22ème édition du challenge Virorello. Une victoire qui conclut une belle saison pour la première saison du père et du fils à l'OGC Nice.
Le Virorello, c'est "un concours de Grand Prix". L'expression vient de Didier Abrate, délégué du 64 TD par poule qui a réuni effectivement tous les grands noms de la saison 2011/2012 de Grand Prix.
Le Virorello, c'est également une ambiance, que ce reportage photo, qui sera complété par deux
autres billets mercredi et vendredi, va essayer de vous faire vivre. Pour susciter l'envie d'y revenir ou d'y participer l'année prochaine ?
autres billets mercredi et vendredi, va essayer de vous faire vivre. Pour susciter l'envie d'y revenir ou d'y participer l'année prochaine ?
Le cadre d'honneur (4 jeux) de l'OGC Nice est prêt pour recevoir les participants.
Rien ne manque, le ciel bleu et le soleil sont au rendez-vous !
Le clos de l'OGC Nice s'est mis sur son 31 !
De nouveaux marqueurs aux traditionnelles couleurs rouge et noir font leur apparition., réalisé par notre ami bouliste et artisan ferronnier Candido Rodrigues.
(Coordonnées sur demande, ceci n'est pas un billet sponsorisé ! Candido fait juste du travail de très grande qualité).
On retrouve à la table de marque les incontournables Didier Abrate (en rouge) et Christophe Garin (en blanc), en charge respective des concours 64 doubles TD et 64 doubles 3 et 4 divisions.
Quand à notre ami Thierry Innoncenti, il a le don de se retrouver sur toutes les photos (outre son talent bouliste qui l'amène à être sur les photos des finalistes) !
Le Virorello se joue sur 4 sites différents. Un mini Alassio en somme !
Le boulodrome couvert, qui jouxte le clos de l'OGC Nice, est ainsi mobilisé. Portes ouvertes obligatoires pour permettre un bénéfique courant d'air !
Les terrains extérieurs du boulodrome couvert (le Gé Gallaratto) sont également utilisés.
32 jeux réparties sur 4 plateaux distincts : bien utile pour une organisation de cette envergure.
Le troisième site utilisé est le clos de Saint-Isidore, à quelques kilomètres.
Les terrains du clos de l'OGC Nice ont été pour leur part investi dès 14h pour la mise en route des parties.
Pendant que l'on joue dehors, on s'affaire à l'intérieur à la préparation des pan bagnat.
Le célèbre sandwich niçois, à base de crudités et d'huile d'olive, viendra combler l'appétit des compétiteurs pour le petit creux de l'après midi.
A propos de repas, quand Didier Abrate m'a remis mon ticket du samedi midi, petite surprise !
J'ai hérité du numéro 22, comme le 22ème Virorello !
Nous pouvons également reconnaitre notre reporter, Christophe Campiglia, en train de prendre sa photo sur l'avant dernier cliché (dans le miroir) ;-)
RépondreSupprimerBien vu Fabrice ! Ai profité d'être office la première pour prendre ces quelques photos... la suite demain soir avec une anecdote sympathique autour d'un élément que l'on devine sur la gauche du miroir et qui est un des thèmes récurrents du blog...
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